Créateur de rêves, créateur de réalité.
Notre meilleur façon de décrire la nature de ce monde est d'utiliser la métaphore de nos rêves.
Lorsque nous rêvons, nous vivons tous des événements et des histoires.
Nous avons rêvé d'histoires remplis de personnages et parfois nous avons traverser des conflits, nous avons eu des actions, des discours, des
responsabilités...
Et nous sommes passé par des phases de bonne et de mauvaise fortune.
Dans l'état de rêve, notre esprit inconscient peut créer n'importe quel scénario et personnage qu'il désire.
De quoi sont faits nos rêves?
De quoi sont faites les personnes de nos rêves?
Qui sont-ils vraiment?
De quoi sont faits les situations et les obstacles dans nos rêves?
Chacun d'eux n'est fait que de notre propre conscience.
Si nous prenons quelque chose dans un rêve, et nous sentons que c'est solide et séparé de nous, mais ce n'est ni solide ni séparé de nous.
C’est notre propre conscience qui se manifeste comme l’illusion de cet objet et de tous les autres objets de notre rêve.
Si une personne spirituelle s'approchait de nous dans notre rêve et nous disait:
«Nous sommes tous un!»
Ce que nous incarnons dans notre rêve peut penser que cette personne est un peu étrange ou «perché».
Mais cette personne aurait tout à fait raison finalement.
Car tout dans notre rêve est créé à partir de la même conscience créatrice de notre soi-disant «esprit inconscient».
Dans cette métaphore notre rêve est similaire à ce que certaines des philosophies les plus profondes du monde disent que cet univers entier est.
Nous sommes un avec la source créatrice de tout cela, mais nous nous déguisons et couvrons la vérité.
Ensuite, nous expérimentons notre vie comme réelle et existante en dehors de nous-même.
C’est excitant car on ne sait jamais ce qui va se passer ensuite.
Les rêves, la vie sont excitant et nous en sommes les maîtres, nos propres maîtres.
Regardons maintenant avec une perspective plus élevée.
Cela signifie que notre attitude de vivre doit être la réflexion que «l'univers est pure conscience».
Ce changement signifie que nous savons que tout est Divin, même si croyons que cela ne ressemble pas toujours au Divin.
Ce changement ne signifie pas que nous devons suivre un certain dogmes, doctrines.
Être dans une perspective plus élevée ne signifie pas que nous ne nous sentons jamais triste ou ne pleurons jamais.
Non ! Mais que lorsque nous pleurons, nous pleurons pleinement;
et quand nous avons fini de pleurer, nous nous arrêtons.
Lorsque nous vivons dans cette perspective ou «l'univers est pure conscience», nous ne sommes pas piégé par le passé ou avons peur du futur.
Nous avons le même respect pour tout le monde et tout ce qui nous entour.
nous savons que tous ceux qui nous précèdent sont une manifestation de cette Conscience.
Quand nous avons conscience de la nature divine de ce monde, nous pouvons considérer absolument tout comme des opportunités d'interagir avec le Divin.
Cherchons le Divin dans tous les endroits, car il est partout.
Touchons le Divin, ressentons le Divin, goûtons le Divin à l'intérieur de nous même et à l'extérieur dans ce monde.
Voyons le Divin dans la nature, dans les arbres, dans les oiseaux et autres animaux, dans le soleil et la pluie, et dans la lune et les étoiles qui brillent la
nuit.
Voyons la Conscience divine se manifester dans tous ceux qui nous sont chers, mais également dans ceux que nous portons pas forcement en estime.
Et surtout voyons la se manifester en nous-même.
Soyons créateurs de nos rêves les plus fous, les plus beaux, les plus extravagant, les plus exceptionnel ...
Afin que tous se réalisent et que nos vies nous correspondent.
Tiwākawāka 14/02/21
Comment, Quand et Ou.
L'important n'est pas tellement ou et quand tu vis,
Mais plutôt comment et pourquoi tu y vis.
Tu peut y répondre de manière positive,
Ou de manière négative,
Mais la vraie question est,
Es tu prêt à vivre?
L'important n'est pas tellement ou et quand tu vis,
Mais comment tu vis, et comment cela et bon pour toi
Suis uniquement l’énergie positive de ton environnement et de ceux qui sont présent
regarde pourquoi tu vis ici et maintenant,
Vise haut et poursuis les chemins les plus nobles,
Vis pleinement et vraiment.
Et au moment présent
Que tu sois au plus bas ou à ton apogée,
Que tu sois dans une pente ou que tu grimpe un sommet.
L'important n'est pas tellement ou tu vis et quand tu vis
Peut importe, car quand tu vis, tu vis
Montre au monde ton don le plus élevé, brille
Et ainsi la réponse de l'univers te sera positive
c'est la que tu sera vraiment prêt à vivre.
Tiwākawāka 11/02/21
Qui somme Nous ?
Une crise identitaire peut survenir à tout âge peut importe les circonstances.
Elles sont toujours très difficile à surmonter, à gérer, quelles que soient les conditions.
Nous nous retrouvons dans une incapacité égotique et orgueilleuse d'avoir une identité qui nous est propre.
Combat intérieur entre l'identité de qui nous sommes et la perte de vocation, de fonction, d'attribution, de rôle que nous avons dans la vie.
Cette crise peut devenir existentiel et nous pouvons alors nous demander si notre vie à un sens, un but ou de la valeur ...
La perception de nous même est essentielle au bonheur, car quand elle est instable et faible, cela peut être dévastateur, pour nous même mais aussi pour ceux qui
nous sont proches.
En apprenant à nous perfectionner dans cette perception de nous même, nous serons capable de surmonter ce genre de crise.
Nous devons apprendre à savoir qui nous sommes, nos qualités, nos valeurs...
Savoir ce qui nous défini, ce qui es important pour nous.
Puis nous devons déterminer ce qui fait notre stabilité, définir notre intimité avec ceux qui nous entourent, ceux qui nous aiment.
Nous devons nous retrouver, évoluer, changer, mais attention ce changement ne veux pas dire briser ce que l'on a déjà.
Avant de briser quelque chose qui nous est propre, regardons si nous pouvons pas faire les choses différemment.
Cela nous évitera de nombreux regrets dans un futur proche ou lointain car la loi de rétribution ou "Karma" vieille en tant que loi intemporelle.
Même si nous imaginons déjà la personne que nous allons devenir, nous ne devons pas renier que, ce que nous sommes actuellement est déjà nous même.
Ne nous attendons pas a devenir une personne complétement différente de ce que nous sommes présentement.
Nous devons comprendre que les nouvelles expériences que nous allons vivre vont nous rendre plus sage plus informé sur nous même sans changé qui nous sommes au
fond.
Nous devons donner un sens à notre vie et en cela explorer notre part de spiritualité.
L'homme que nous sommes à tendance à se dissocier de l'Univers et c'est la notre erreur, car nous sommes une part vitale de l'Univers.
Tout ce qui nous constitue, comme tout ce qui existe dans l'Univers, est né de cet Univers.
Nous n'appartenons à aucun groupe, qu'il soit religieux, politique, social, ethnique, racial ...
La seule et unique appartenance et identité que nous ayons réellement est celle d'être un enfant de l'Univers.
Ainsi nous nous devons de Cultiver nos ressemblances pour le partage et utiliser nos différences pour notre évolution à tous.
Soyons qui nous sommes sans aucune appartenance de dissociation, car nous sommes tous frères et sœurs de l'Univers.
Mais revenons à l'essentiel.
Qui sommes nous ? Que sommes nous venu faire ici bas sur cette terre, mis a part manger, respirer, boire et dormir ?
Et la mort est elle la fin de nous même ou allons nous continuer à exister sous une autre forme ?
Ces trois questions sont les plus existentiel et les plus fondamentale et pourtant même lors d'une crise identitaire nous passons généralement à coté.
Elles nous apparaissent souvent un peu tard, voir à la fin de notre vie alors qu' elles sont le moteur de notre existence ...
Quand nous accomplissons une tache quelconque, nous commençons habituellement par nous informer de l'objectif à atteindre et de la manière à suivre pour bien
accomplir cette tâche.
Alors comment expliquer que lorsqu’il s’agit de la réussite de notre vie, nous faisons souvent tout l'inverse!
Nous voguons alors « sans boussole » dans la vie, en nous cognant sur des obstacles que nous avons involontairement créer.
Oui pour avancer sereinement nous devons éclairer nos esprits sur le vrai sens de la vie, pour ainsi nous éviter des démarches et expériences inutiles, voir
néfastes, dans notre présent cheminement terrestre.
Pour ce faire, nous devons tenir compte non seulement de notre corps physique, mais de notre être en entier ...
C’est à dire notre vrai « Moi », que nous appelons notre âme, cette partie de nous qui nous accompagne à travers nos multiples incarnations et qui est la raison
même de notre existence ici bas.
Si infimes que nous puissions nous sentir parfois comme individu, nous allons petit à petit apprendre à reconnaître la grandeur de notre rôle dans cet immense
Univers.
Chaque humain est exclusif, précieux, fantastique dans ce monde, et chacun y a sa juste place.
Si aujourd'hui nous sommes sur cette Terre, c’est que nous l’avons bel et bien choisi, ce n’est pas dû à une coïncidence quelconque.
Alors il vaut mieux savoir ce que nous devons y faire si nous voulons réussir cette halte ici bas.
Tiwākawāka 03/02/21
Ignorance? Pardon? Ou Acceptation?
Il est assez marrant de voir que nous avons l’habitude d’utiliser le vocabulaire de la cuisine pour décrire nos émotions.
Par exemple, nous allons dire d’une personne énervée qu’elle “fume”, telle une cocotte minute qui laisse échapper de la vapeur...
Et nous dirons d’une personne en colère qu’elle “bouillonne”, comme si elle était sur le feu ...
Pensons aux paroles colériques et accusatrices que nous pouvons avoir à l'encontre des autres.
Notre ego nous suggère ces mots parce qu’il désire que nous nous accrochions à notre amertume et passons des jours, des mois, des années à mijoter dans la sauce de
la colère, de la vengeance et de la haine.
Grâce à notre lumière intérieur, grâce à la force de notre cœur nous pouvons abandonné tout cela et ne pas permettre à ces émotions de bouillonner!
Est-ce que tu mijotes ou bouillonnes dans une chose blessante qui t’a été dite ou faite ?
Est-ce que la flamme de la colère brûle encore, te faisant mijoter lentement alors que tu refuses de l’éteindre ?
Si c’est le cas, tu es en danger de brûler.
Trop parmi nous n’ont aucune vie parce qu’ils s’accrochent à une amertume bouillonnante et laissent mijoter leurs émotions.
Soyons en garde contre l’amertume entretenue.
Recherchons la paix avec tous…
Veillons à ce que nul ne se prive de la grâce universel.
Veillons à ce qu’aucune racine d’amertume, poussant des rejets, ne produise du trouble, et infecte ceux qui nous entourent.
Ne soyons pas la personne amère qui n’écoute pas les conseils.
Pourquoi ? Parce que la colère rend notre cœur aveugle à la vérité.
L’amertume est un levain qui se trouve dans nos cœurs et il est à l’œuvre en ce moment.
Nous n’attisons peut-être pas le feu, mais, au bout du compte, le levain va faire monter la pâte.
Et, dans un seul accès de rage, il va donner le pain de la dépravation.
Cela décrit la vie de nombreux d'entre nous aujourd’hui. Nous avons un peu de levain dans nos cœurs.
Une grande ou petite blessure dont nous nous sommes jamais occupés, et nous ne l’affrontons pas, ne nous repentons pas.
Nous nous contentons de l’ignorer. Nous croyons peut-être que notre cœur est pur et innocent.
Nous venons peut-être même jusqu’à témoigner “Mais je n’ai rien contre cette personne. Je ne rumine rien.”
Mais le levain de l’amertume est encore à l’œuvre en nous, atteignant tous les domaines de notre vie.
Et le temps viendra où il refera surface, en levant d’un coup comme le pain, parce nous nous n'en serons pas occupé!
Ces réaction et sentiments nous sont courants et font partie du comportement humain.
Le problème survient lorsque ces sentiments négatifs commencent à être récurrents et finissent par nous nuire.
Alors devons nous apprendre à ignorer, à pardonner ou à accepter les paroles et les actions toxiques?
Ce n’est pas si simple, cela implique souvent un profond changement d’attitude.
Laissez moi vous conter une petite histoire,
Un jour un homme s'approcha du grand sage du village
Et sans dire un mot lui cracha au visage
Les disciples du maître étaient très en colère.
L'un d'eux demanda si il pouvait châtier l'homme qui avait agressé.
"Non" répondit le grand sage, "je vais lui parler".
Il s'essuya le visage et en joignant les paumes de ses mains en signe de respect, dit à l'homme.
"Je vous remercie de votre geste, car vous m'avez permis de me montrer que la colère m'a quitté, elle n'existe plus en moi.
Et vous nous avez également montré qu'elle est toujours présente dans le cœur de mes disciples.
Alors merci beaucoup nous vous en sommes très reconnaissant"
L'agresseur était abasourdi, il ne croyait pas ce qui s’était passé, il était bouleversé et stressé.
La nuit suivante il fut frappé par de grands frissons qui trempèrent les draps de son lit.
Dans sa vie il n'avait jamais rencontré quelqu'un avec un charisme aussi grand que celui du grand sage.
Cela changea ses pensées, sa façon de vivre et d'agir.
Le lendemain l'homme retourna voir le grand sage et se jeta à ses pieds.
"Pardonnez moi pour ce que je vous ai fait hier" dit-il en sanglotant.
"Mais je n'ai rien à te pardonner" répondit le grand sage et il s'expliqua.
"L’écoulement de la rivière fait que ses eaux ne sont jamais les mêmes.
Aucun homme reste le même. Je ne suis pas la même personne que celle qui fut souillé hier.
Et même celui qui m'a craché dessus hier n'est pas la. Aujourd'hui je ne vois personne aussi en colère que lui.
Maintenant tu n'est plus le même homme que hier, tu ne m'as rien fait, donc je n'ai rien à te pardonner.
L'homme qui a craché et l'homme qui a reçu, ils ne sont plus ici, ils n'existent plus.
Passons à autre chose et maintenant vivons, respectons et chérissons chaque instants présent"
Voila, ignorer ne fait que repousser au fond de nous ces émotions négatives que sont la colère, la tristesse, l'amertume ...Cela ne résout en rien les problèmes
engendrés qui resurgissent tôt ou tard.
Pardonner l'autre ne sert à rien non plus car dans l’écoulement du temps les choses et les personnes changent, évoluent et le pardon n'a plus raison
d'être.
Alors nous devons apprendre à ouvrir notre esprit et à voir les choses d’un autre point de vue.
Dans ce sens, nous parlerons d' «Acceptation radicale»
Nous devons accepter sans jugement.
Quand quelqu’un nous irrite avec ses paroles ou ses actions, c’est parce que nous attendons nous-mêmes certains comportements de cette personne.
Alors nous rejetons ces comportements différents de ce que nous avions imaginé.
Ce rejet alimente la frustration, le ressentiment, la haine ou la tristesse.
Au contraire, lorsque l’on pratique une acceptation radicale, on accepte simplement tout ce qui s’est passé, sans entrer dans le jugement de mérite.
La distance mentale crée une sorte de bouclier.
Cela nous garantit que dans toute les situations, nous ne subirons plus aucun préjudice émotionnel.
Tiwākawāka 02/02/21
Viens on s’évade
Tiwākawāka 26/01/21
Notre Rêve éveillé
Quel magnifique mot que le mot "rêve", accompagné de ses multiples significations opposées.
Assoupissement ou passion, chimère ou exactitude, fiction ou prophétie.
Il y a des rêves qui tourmentent et des rêves qui mettent en joie, des rêves soporifiques et d'autres exaltants.
Parfois nous rêvons endormis, d'autre fois éveillés, mais la plupart du temps nous ne savons pas pourquoi nous rêvons de ce que nous rêvons.
Mais nous continuons de rêver.
Les rêves ne sont que rêverie mais parfois il rejoignent la réalité, ils se réalisent.
Oui il y a des rêve qui doivent se réaliser, nous même sommes nés d'un rêve, qu'il soit conscient ou inconscient.
Nous sommes nés du rêve, celui d'Adam pour Eve et celui d'Eve pour Adam.
L'un ne peut qu'être seul sans l'autre, il n'y a point d'espoir dans la solitude, sans compagnie, sans rêve.
Nous sommes enfants du rêve, nous sommes filles et fils du rêve.
Nous sommes le rêve d'un autre, et nous sommes appelés à créer la vie à partir de notre plus beau rêve.
Le rêve fécond de l'humanité peut être vu comme une métaphore du monde profond du désir ou de la transcendance.
D'un monde symbolique qui nous unis, d'un monde spirituel.
Nous sommes des êtres finis, ou réside en nous une volonté plus grande que nous même.
Nous somme habités d'une vitalité infini, une possibilité ouverte ...
L'expression "nés du rêve" désigne que nous existons pour rêver de ce qui n'est pas encore mais qui peut être.
Elle indique ce que nous ne sommes pas encore mais ce que nous pourrons être un jour.
Mais à quoi bon rêver me direz-vous ?
Rêver nous permet de vivre éveillés, nous empêche de rester inerte, inconscient.
Le rêve nous amène à faire des rêves éveillés.
Oui ces rêves qui allument l'espoir dans le cœur des hommes, ces rêves utopiques, ces rêve de magie réalistes.
Le rêve nous ranime, il nous éveil, nous pousse à marcher dans la bonne direction.
Cette direction qui nous encourage à aller de l'avant, à trouver notre bonheur.
Même si les utopies ne peuvent être réalisées, elles existent pour que nous en prenions le chemin.
Le chemin est le but principal, son horizon restera toujours horizon, il nous indique juste la direction.
Il n'existe pas de chemin plus motivant que celui de l'utopie, surtout si elle est nécessaire pour nous faire vivre dans l'espoir.
Cet espoir qui nous procure de l'haleine, du souffle ...
Ce souffle qui nous pousse à aller de l'avant, quand bien même nous somme las et fatigué.
Il nous permet de respirer, d'inspirer, d'expirer encore et encore et ainsi dilater notre cœur.
Le rêve nous unis à la respiration de la vie, celle de l'esprit créateur divin que nous sommes.
Tiwākawāka 24/01/21
le Chemin de la méditation
Tiwākawāka 22/01/21
Commencer le livre de notre chemin spirituel.
Faisons en sorte que ce livre qui va changer notre vie soit un voyage initiatique de retrouvailles avec notre intuition, notre confiance en nous, nos rêves, notre âme d‘enfant, et ainsi
percevoir le clés de la réussite d’une vie inspirante.
Avant de commencer à écrire le premier chapitre de notre ouvrage spirituel, penchons nous sur son introduction.
C'est sans doute la phase plus importante de notre livre.
C’est toute la période de notre vie, de nos vies, durant laquelle nous nous sommes pas engagés dans une démarche spirituelle.
Écrivons toute cette période préliminaire qui recèle tout se qui va nous conduire à notre chemin spirituel.
Nos Souffrances, nos doutes ,notre questionnement, nos rencontres…
Bien qu’elle soit en dehors de notre chemin spirituelle, elle est la partie la plus considérable.
En effet si durant cette période rien ne nous conduit à la spiritualité, alors nous ne dirigerons jamais vers notre éveil.
Nos émotions perturbatrices, nos obstacles, nos ennuis, nos doutes etc… tout cela est donc très précieux.
Ces causes ont pu être négatives comme la souffrance ou les doutes, mais également positives comme l'amour d’autrui, l'altruisme, la générosité.
Qu’elles soient « positives » ou « négatives », ces causes vont être l'essence de notre spiritualité.
Voila il est important de prendre conscience de l’utilité de cette première phase.
C’est durant cette phase que nous pouvons être orientés vers la spiritualité, vers des « amis de bien » qui nous donneront des conseils, des chemins à emprunter, des expériences à faire et à
vivre...
Et, si nous avons envie d’aider autrui à entrer dans les étapes du chemin spirituel, nous pouvons à notre tour être un élément moteur dans son cheminement en l’interpelant, en lui ouvrant les
yeux, en l’encourageant, en le réconfortant, en lui donnant de l’espoir, en l’écoutant…
Bien-sur il ne s’agira pas d’avoir une attitude moralisante, exposant la vérité etc…
Non, il s’agira d’incarner la paix la vertu… ou tout du moins d’exprimer simplement notre goût pour les voies de sagesse.
Voila je vous invite donc à vous remémorer tout ce chemin passé, à vous souvenir de toutes ces expériences vécus, à peaufiner cette grande introduction avant de vous engager dans le premier
chapitre de votre livre spirituel,
Tiwākawāka 21/01/21
L'existence entre Terre et Ciel.
Garder les pied sur Terre mais avoir la tête dans les Étoiles.
Cette équilibre entre Terre et Ciel est au cœur de notre spiritualité.
Nous devons apprendre à associer intuition et raison de la manière la plus juste.
Car se sont l'intuition et la raison qui sont au cœur de notre transformation spirituel.
De nos jours, notre sens critique est devenu dominant.
Nous pouvons constater que la science gouverne la pensée et se trouve pour certains être une doctrine religieuse.
Oui l’humanité a atteint un haut degré de matérialisme et d’individualisme.
Tout cela tue l’âme de la vie, détruit la magie de simplement être et renforce la barrière qui nous sépare de l’invisible.
Voilà pourquoi nous sommes « tombés » aussi bas et pourquoi la nature se meurt.
Ne nous inquiétons pas, la roue tourne toujours !
Cette période d’involution est arrivée à sa fin et la remontée a déjà commencé.
C’est pour cette raison que nous voyons aujourd’hui beaucoup d'entre nous donner de l’intérêt à la spiritualité.
La spiritualité d'Être qui nous sommes vraiment.
Pour aborder cela, il va nous falloir un équilibre.
Équilibre qui va nous permettre d'harmoniser c'est deux aspects que sont le concret et l'abstrait.
Garder les « pieds sur terre », c’est être capable d’entendre sa rationalité.
Avoir la « tête dans les étoiles » c’est savoir entendre son instinct.
Garder les « pieds sur terre » c'est se souvenir que notre expérience de vie ici bas est aussi d'ordre matériel.
Dans cette réalité matériel la raison s’exclame en nous rappelant que, chaque chose doit être concrète et logique.
Et pour que cette équilibre matériel existes, chaque chose doit aussi être à sa place.
Notre mental rationnel nous pousse à reconnaitre qu'il existe un équilibre mécanique, fonctionnel, mesurable et quantifiable dans la nature environnante et en nous
même.
Cet équilibre nous permet de créer un lien solide, biologique, matériel et concret avec ce même environnement.
Toute cette dimension est reliée au charnel, au brut, au réel sans équivoque.
Ce n’est pas spécialement confortable pour nous tous, mais il faut apprendre à voir le monde aussi par cet aspect.
Avoir la « tête dans les étoiles » c'est l'opposé de la raison, du mental, de la logique et de la rationalité.
C'est volatile, c'est sauvage, c'est magique, c'est du domaine de l’invisible, du sensible, du non quantifiable, du non mesurable.
Nous quittons le monde du concret, du matériel, pour entrer dans le monde du mystère !
Mais alors comment faire pour découvrir l'invisible ? Vaste question ....
Ce regard « caché » de cette nature imperceptible par nos 5 sens est abordable par des fonctions dîtes de sensibilité, d’intuition, de connexion...
Ces perceptions ne viendront pas d’une observation concrète, mais d’expérimentations intimes.
Ces expérimentations peuvent être multiples et de toute nature, elle doivent simplement nous amener à développer ce que le concret ne peut comprendre et appel
parapsychisme.
Paraspychisme, un mot étrange, qui peut faire peur a première vue mais qui vous rassurera en vous montrant d'autres aspects de notre réalité par d'autres sens
cachés bien différents des 5 sens connus.
La prière, la méditation, la contemplation, la respiration contrôlée et beaucoup d'autres méthodes existent pour nous aider à développer ces sens et nous amener sur
le chemin de la découverte de l'invisible.
Donc, nous parlons bien d’un équilibre entre la raison et l’abstrait.
Cet équilibre est important pour notre développement personnel et spirituelle.
Important car il va nous permettre de ne pas s’enfermer entre des murs de raisons ni de s’oublier dans des illusions mystiques.
Comprenons que même si ces concepts sont avant tout « mentaux », ils ont un impact sur notre corps, sur notre humeur, sur notre psychisme.
Un impact sur tout notre être, sur notre environnement et sur la totalité de notre existence.
Cela veut tout simplement dire que, d’une certaine manière, notre équilibre joue sur celui des autres, sur celui de la nature et du monde qui nous entoure.
Alors n'oublions pas de garder les « pieds sur terre », et d'avoir la « tête dans les étoiles ».
Tiwākawāka 20/01/21
Oser la vie en restant soi même.
La vie est vraiment trop courte pour ne pas en profiter au maximum, alors osons saisir les opportunités et restons toujours nous-même.
Malgré tout ce que nous allons faire avec notre temps sur Terre, nous allons partir trop tôt.
Nous devrions vraiment vivre chaque jour comme si c’était notre dernier.
Ces dernières années m’ont appris que nous ne savons jamais quand ce sera notre moment de partir.
Alors soyons toujours reconnaissant pour les petites choses et les choses simples, car un jour ce seront peut-être de grandes choses.
Profitons de chaque instant avec tous ceux qui nous font sourire et ne gardons aucune rancune des moments de souffrance.
Chérissons chaque câlin, chaque baisers, acceptons chaque compliments et saisissons chaque occasions que nous pouvons avoir pour faire sourire les
autres.
Ne nous mettons plus de barrières, ces vieux schéma du mental, de l'esprit ... Si nous ressentons quelque chose, qui vient de notre cœur, de notre âme alors il faut
foncer.
Osons vivre, croquons la vie a pleine dents,
N'ayons plus peur d'avoir honte de qui nous sommes.
N'ayons plus peur du mensonge de croire que nous allons être blessé ou triste.
N'ayons plus peur du regards, du jugement des autres.
N'ayons plus peur de saisir l'amour de celui qui nous le tends.
L'amour ne fait jamais mal, c'est nous qui ne savons plus comment vivre avec.
Osons vivre, Osons aimer. Aimons nous, aimons la vie et les autres.
Nous sommes tous très doués et quoi qu’il en soit, nous devons toujours rester nous-même sans aucune excuse.
Ne nous devons plus perdre de temps à nous inquiéter des apparences. Nous sommes la vie et l’âme du monde, nous devons juste être heureux d’être
nous-même.
Oui, la plupart d’entre nous devons travailler pour être nous-mêmes plus souvent.
Il y en a beaucoup parmi nous, qui savent qu’ils peuvent parfois être bloqués par l’opinion des autres.
Mais nous sommes tous uniques en notre genre, alors n'oublions pas que les gens qui nous aiment vraiment, nous aiment simplement parce que nous sommes
nous.
Et d’accord, nous n’allons jamais nous entendre avec tout le monde, mais nous aurons des relations plus authentiques
Et de vous a moi, nous nous amuserons certainement plus en étant le plus authentique possible.
Tiwākawāka 19/01/21
Le feu du cœur
Le feu est puissance, le feu est restauration, le feu est purification, le feu est survie, le feu est chaleur.
Notre feu du cœur est tout cela à la fois mais d'un autre genre.
Il ne détruit pas, il ne brule pas la matière, il ne consume pas la chair, il ne fait pas mal. C'est notre Feu spirituel.
Il est en Nous, au plus profond de nous, sous la surface de notre esprit, dans un endroit que nous connaissons à peine.
C’est la source de notre inspiration. C’est le Feu de la Connaissance, la voix plus profonde qui est en nous.
Brûlant comme un foyer imaginaire, consumant nos erreurs et notre douleur, nous purifiant, nous bénissant, nous guidant.
Mais dans ce monde moderne nous sommes loin de ce foyer.
Nous vivons à la surface, la surface turbulente de notre esprit.
Nous vivons à la surface du monde, avec toutes ses tragédies, ses incitations et ses malheurs.
Nous sommes occupé, pris par les choses, stimulé mais agité, poussé par notre vie, par notre confort que nous croyons être nos besoins, par nos possessions et par
les exigences des autres.
Nous ne sentons pas toujours, voir jamais ce Feu, bien qu’il brûle en nous.
En tant que créature de la Terre, notre cœur continuera de battre, notre corps travaillera.
Mais n’est ce pas là ce qui peut générer le désir de créer, le désir d’établir de vraies relations, le désir de sens et la recherche de sens.
Ces choses-là doivent provenir d’une motivation plus profonde qui vit en nous, au plus profond de nous.
Non ?
Nous ne pouvons pas nous sentir à l’aise avec seulement du confort.
Nous ne pouvons pas être sûr de nous avec toutes les apparences de la sécurité.
Nous ne pouvons pas nous contenter de petites choses, car ce Feu est là.
Il est mystérieux.
Nous ne pouvons pas le conceptualiser.
Nous ne pouvons pas l’utiliser à nos propres fins.
Nous ne pouvons pas l’utiliser pour obtenir de la richesse ou des privilèges ou pour convaincre d’autres personnes.
Le Feu a son but propre.
Il a de plus grands projets pour notre vie.
Ce Feu n’est pas seulement un concept ou une chose imaginée.
C’est une réalité viscérale.
Nous pouvons la ressentir dans votre corps. Elle est la source de notre force de vie ici.
Elle est puissante. Elle est subtile.
Si nous venions à proximité d’elle, nous verrions à quel point elle est forte et à quel point elle illumine le paysage en nous.
Nous allons avoir besoin de ce Feu.
Nous allons avoir besoin de ce Feu pour faire face à un monde d’une instabilité environnementale, sociale et économique croissante.
Nous allons avoir besoin de ce Feu pour faire face à l’incertitude croissante des gens qui nous entourent.
Vous allons avoir besoin de ce Feu pour construire les Quatres Piliers de votre vie.
Le Pilier des Relations, le Pilier de la Santé, le Pilier du Pourvoiement à ses besoins primaires et le Pilier du Développement Spirituel.
Ce sont ces Piliers qui soutiennent notre vie et ils nous donneront la force d’endurer les épreuves et le grand changement qui s’annonce dans le monde.
Nous avons besoin de ce Feu pour nous empêcher de sombrer dans le désespoir ou de devenir blasé et cynique.
Nous avez besoin de ce Feu pour garder les yeux ouverts, pour continuer à écouter, pour observer et surveiller l’horizon de notre vie.
Nous aurons besoin de ce Feu pour trouver ceux qui détiennent la clé de notre plus grand travail et de nos plus grandes relations dans la vie.
Car si Nous ne vivons qu’à la surface de notre mental, nous y périrons.
Nous perdrons notre direction. Nous perdrons notre motivation.
Nous perdrons notre passion pour la vie. Nous perdrons notre inspiration.
Et nous sombrerons dans le désespoir. Même si certains d'entre nous vivent dans l’aisance et le luxe, nous sombrerons dans le désespoir.
C’est là notre liberté, car rien au monde ne peut éteindre ce Feu.
Et il reste pur en nous. Même si notre vie a été souillée, même si notre vie a été gaspillée, même si notre vie souffre actuellement.
Ce Feu est en nous et il est pur. Il nous donnera les yeux pour voir et les oreilles pour entendre et la force de regarder la vie avec objectivité.
Il nous délivrera de nos obsessions et de nos addictions, car il est plus puissant que ces dernières.
Donnons donc notre peur à ce Feu. Donnons notre ambivalence à ce Feu.
Donnez notre sentiment d’oppression à ce Feu. Donnons notre colère, notre haine et notre condamnation à ce Feu.
Visualisons-nous assis près de lui et y introduisant ces choses, car il purifiera tout ce qui n’est pas vrai.
C’est maintenant le Feu qui est plus essentiel que jamais.
Il n’est pas seulement là pour notre rédemption personnelle.
Il est là pour restaurer le monde, pour préparer l’humanité à vivre dans un monde nouveau et à affronter un univers, une Grande Communauté de vie, qui modifiera le
cours de la destinée humaine et l’avenir de chaque personne.
Croyons en nous, n'ayons plus peur.
Je vous invite donc, au Feu.
Venez, donc, à ce qui va vous réchauffer, à ce qui va vous donner force et courage, et qui va vous redonne votre dignité et votre raison d’être dans ce
monde.
Telle est la bénédiction. Telle est l’offrande.
L'univers nous ramène à nous et nous donne une vie plus grande dans ce monde.
Tiwākawāka 18/01/21
Dans l'obscurité nait la lumière.
Mon cœur et mon esprit sont comme deux pièces de taille identiques, séparées d’un mur et muni d’une porte entre les deux.
La première pièce, qui représente mon Esprit est dépourvue de fenêtres et ne dispose d’aucun éclairage artificiel.
Sa porte en est fermée et il m'est impossible d'y percevoir quoi que ce soit à l’intérieur
Elle parait sombre, lugubre, oppressante et terrifiante ...
L’autre pièce qui représente quand à elle mon cœur, dispose de fenêtres et de grandes baies vitrés ouvertes. Le soleil y entre à flots.
Et comme si ce n’était pas suffisant, des lumières illuminent toute la pièce.
Elle parait rassurante, lumineuse, claire et joyeuse ...
Je vais alors dans la direction de la pièce inondée de lumière, celle qui me rassure.
Et je me dirige ensuite vers la porte qui la sépare de la pièce plongée dans l’obscurité.
Que se passe-t-il si je l'ouvre cette porte ?
Les ténèbres vont ils rassembler leurs forces, envahir la pièce éclairée, et la lumière va s’enfuit par les fenêtres…
Vraiment ?
Pour le savoir j'ouvre la porte et la ...
La lumière impose sa puissance, pénètre dans la pièce obscure et dissipe les ténèbres.
Dans la vie, nombreux sont les moments où je me suis senti environné d’épais ténèbres.
Ils étaient remplis d'incrédulité, de superstition, de résistance, de perversion, de peur, de colère ...
En pareilles circonstances, j'ai décidé de pas abandonner, de ne pas désespérer.
Même si les ténèbres m'ont semblé excessivement denses.
J'ai toujours regardé au fond de moi, vers mon cœur pour me rappeler que la lumière est plus puissante que les ténèbres.
Voila mon message pour vous, même si parfois, notre lumière nous semble très petite, pour ne pas dire insignifiante.
Et que l'on peut se demander quel effet peut-elle bien avoir au milieu de ténèbres aussi épais.
Qu'à ce moment la il serait formidable d’être un soleil galactique, ou quelque un luminaire !
Alors je vous invite à observer le ciel par une nuit claire.
Prenez le temps d' observez, de regardez les étoiles et souvenez-vous de ceci ...
Depuis la nuit des temps, même la plus petite des étoiles a su éclairer le chemin des voyageurs perdus.
Alors, ne vous en faites pas si votre lumière est petite.
Même une petite lumière peut guider, éclairer et être une bénédiction pour nous et les autres.
En fait, plus grande est la crise, plus dense est l’obscurité, plus épais sont les ténèbres, plus grand sera le contraste apporté par la lumière.
Regardez l'étoile qui brille dans votre cœur, faite la briller comme un soleil, ouvrez la porte et inondez votre esprit de la lumière de votre propre Amour!
Tiwākawāka 17/01/21
La vrai force de l'esprit.
L'Homme moderne vient souvent à la rechercher face à l’adversité.
Mais elle est perpétuellement présente à nos cotés, à chaque instant de notre existence.
Alors comment la trouver?
En se recueillant, dans l’Unité de nos cœurs
Se soustrayant au bruit du monde dans le silence, la méditation, la prière et la contemplation.
Et dans cet instant si nous laissons notre âme s’exprimer et demandons à la divine création,
Alors la force de l'esprit vient à nous avec puissance et bruit comme un vent violent.
Dans un fracas qui ne tolère pas la paresse et force à l'action.
Elle propage sur nous la sagesse divine qui unit et rassemble dans l'amour.
Nous en sommes tous rempli et nous en débordons selon nos capacités
Alors quand elle vient à nous elle multiplie nos dons naturels
Par notre nature, par notre cœur, par notre intelligence, par notre tempérament
Et nous pouvons ainsi communiquer et transmettre aux autres, notre foi, notre amour et notre lumière par nos actes.
C'est alors que nous ne faisons plus face à la fatalité mais vivons pleinement notre histoire.
Tiwākawāka 16/01/21
La quête du soi et non du Moi.
Tiwākawāka 15/01/21
Parlons d’Acceptation.
Que représente l’acceptation pour chacun d’entre nous ? Un mot ?
Elle est absolument nécessaire pour notre évolution, pour arriver à comprendre, pour réussir à atteindre des plans de conscience qui nous sont nécessaires en vue de
notre transformation intérieur.
Le mot acceptation veut dire une multitude de choses !
Commençons par l’acceptation de soi-même.
Nous ne nous acceptons pas ! L’acceptation et l’Amour font partie de la même énergie, sauf que l’Amour est une énergie beaucoup plus amplifiée que
l’acceptation.
Nous ne pouvons pas atteindre l’Amour sans l’acceptation et celle-ci se travaille à chaque seconde de notre vie, à chaque pas de notre existence.
L’acceptation de nous-même, de ce que nous sommes, de ce que nous représentons, est la plus difficile.
S'accepter c'est prendre conscience de qui l'on est, prendre conscience de notre corps en premier puis de nos aspirations créatives et spirituelles.
Respecter notre corps qui vient de la terre c'est respecter notre part de féminité (mère), respecter notre créativité qui vient de notre âme c'est respecter notre
part d’Être (Homme et Femme), et respecter notre spiritualité qui vient du ciel c'est respecter notre part masculine (père).
Se respecter c'est faire en sorte d'avoir un corps sain pour acquérir un esprit sain et de ce fait mieux vivre notre existence ici bas.
Ensuite, vient l’acceptation de l’autre.
Celle là aussi est très difficile car nous projetons toujours sur l’autre une image.
Nous avons une façon très personnelle de le percevoir et de vouloir qu’il soit comme nos yeux, comme notre tête voudraient qu’il soit. Mais non, en fait ne pas
l'accepter tel qu'il est c'est finalement ne pas s'accepter soi même.
Donc face à l'autre nous avons deux choix; le premier est la fuite, se débiner, ne pas accepter le travail sur soi que l'autre nous reflète ... Nous voulons fuir la
situation, mettre un terme à la relation, sauter du train en route ... Mais est-ce la solution? Malheureusement
Non! Cette décision est une faiblesse de l'ego en prise avec l’orgueil. Cela nous fait rejeter à demain le problème qui sera amplifie lors de sa prochaine
rencontre. Et oui ces problèmes reviennent toujours, souvent en force et sous une autre forme, tant qu'ils n'ont pas été accepté.
La deuxième solution est l'acceptation. Oui, accepter de voir à travers l'autre ce que nous devons travailler sur nous même.
Cela nous permet d'une part d'harmoniser la relation et d'autre part de nous amener nous même sur le chemin de notre développement personnel, vers notre véritable amour propre, celui du cœur pas l'égotique.
Chaque être ne se transforme pas au même rythme que nous, c’est-à-dire certain lentement et d'autres à un rythme extrêmement rapide. Nous ne nous en rendons pas
bien compte mais c’est ce qui fait le décalage d’appréciation et de comportement, c’est ce qui fait le décalage dans nos familles, dans un couple, entre amis, ce décalage que nous ne pouvons pas toujours comprendre.
Nous pensons connaître ceux qui nous entourent, les aimer pour ce qu’ils sont mais parfois ils nous deviennent insaisissables, comme nous devenons insaisissables
pour ceux qui nous entourent. Cela nous perturbe, cela peut nous angoisser aussi parfois mais cela s’appelle l’évolution. Il faut accepter cette transformation chez nous et chez l’autre, car elle
est le chemin qui mène tout droit à la Lumière et à l’Amour.
Il faut que nous comprenions aussi que l’autre, aussi dur qu’il puisse être vis-à-vis de nous, aussi injuste parfois, est l’artisan de notre évolution. Il est
nécessaire que nous comprenions que les expériences qu’il nous fait vivre sont évolutives, et que nous nous demandions : Que m’apporte celui qui me fait souffrir ?
Lorsque nous avons la réponse, nous savons que nous sommes sur le chemin de l’évolution, et à ce moment là, aussi dur que l’autre ait pu être envers nous, nous
avons un immense Amour pour lui, un grand respect pour ce qu’il a pu déclencher en nous pour nous propulser beaucoup plus loin sur notre chemin évolutif.
Celui qui nous a fait évoluer comme cela n’est pas toujours conscient du rôle qu’il a eu à jouer pour nous, et inversement nous n'en avons pas nous même forcement
conscience. C’est pour cela que jamais nous ne devons en vouloir à celui qui nous a blessé. Et si nous ne le faisons pas, nous sommes finalement les perdants de notre propre existence par ce
refus d'acceptation et d'évolution intérieur.
Le plus grand frein dans l’évolution de l’homme, c’est ce que nous appelons sur terre l’ego, qui génère les blessures et les vexations de notre personnalité.
Certaines personnes peuvent les pardonner, car et elles font naître en eux une certaine profondeur d'esprit, d'autres n'y arrive pas car elles créent un ressentiment profond, ce qu'il vaut mieux
éviter absolument.
N’oubliez jamais ce message : quoi que puisse nous faire notre frère ou sœur d'âme, juste ou injuste, ne nourrissons jamais de ressentiment envers lui ! Il est
l’artisan de notre évolution, il est celui qui nous permettra de voir en nous ce qu’il faut transformer ! Parfois il en est conscient, mais celui qui est conscient du travail qu’il fait faire à
son frère ou à sa sœur a déjà dépassé une certaine compréhension de sa propre évolution, c’est à dire qu’il commence à aller à l’essentiel.
Tiwākawāka 14/01/21
Et le bonheur dans tout cela ?
La Vie est éternelle et se nourrit d’elle-même, l’Amour est infini et se nourrit de lui-même et de la même façon nous nous nourrissons de ce que nous sommes, c’est
à dire de l’énergie d’Amour qui est notre essence profonde.
Dans cette perspective, le bonheur n’est pas forcement confortable et il est bien loin de ressembler à un état de bien être permanent.
Car la Vie est vivante et qu’on le veuille ou non, elle nous veut Vivant et tout Amour avec elle.
Quel choix avons-nous vraiment face à elle ? C’est notre mental conditionné qui croit avoir un libre arbitre et qui avec ses petites voix se « prends la tête » pour
choisir ce qu’il croit être le meilleur dans sa vision étriquée du Bonheur.
Alors que le libre arbitre n'est pas que mental ... mais bel et bien un choix entre le mental qui vient de la tête et les intuitions qui viennent du
cœur.
Mais pour le mental faire des choix revient à considérer qu’il y a des bons choix et des mauvais choix et donc à se créer des problèmes là où il n’y a que des
solutions.
L’ Amour ne choisit jamais, il va toujours vers l’évidence.
Ce qui nous donne d’ailleurs cette impression curieuse de ne pas avoir le choix !
Nous nous sentons alors comme poussé, tiré…, ça se décide à travers nous, mais nous ne décidons rien.
L’Amour dit OUI à ce qui est, sans jugement, sans condition…, pendant que la seconde d’après, le mental régit par ses peurs et son besoin de sécurité s’empresse de
répondre :
« OUI mais…»
Dans l’espoir de contrôler la situation et nous éviter ainsi de RESSENTIR.
Après plus de 30 ans de résistance à ma nature profonde, j’ai fini par comprendre que la seule liberté que nous ayons face à la Vie est :
Soit d’aller dans son sens en entrant dans la danse de « l’évidence » et la joie d’Être ce que nous sommes,
Soit d’aller à contre sens en entrant dans la résistance et la souffrance de ne pas Être ce que nous sommes.
Dans les deux cas et quoi qu’il advienne, le tourbillon de la Vie nous emporte inexorablement vers elle ne souhaitant qu’une seule chose : Notre bonheur d’Être ce
que nous sommes !
Tiwākawāka 13/01/21
La vie nous aime.
Elle nous aime de façon inconditionnelle et à chaque seconde de notre existence elle nous offre tout ce dont nous avons besoin pour épanouir notre bonheur. Elle
nous pousse à être ce que nous sommes véritablement.
Ainsi, chaque être humain possède, à l’état de germe, toutes les ressources nécessaires pour transmuter « les épreuves » auxquelles il est confronté.
C’est d’ailleurs le rôle principal de nos émotions que de nous guider vers cette puissance intérieure.
Car en effet, c’est en les accueillant en nous-même et donc en ACCEPTANT de les éprouver que nos émotions stimulent et facilitent l’émergence de nos pleins pouvoirs
et potentiels.
Cependant, c’est bien souvent après la bataille, une fois la tempête traversée, que nous prenons conscience de toutes les perles d’Amour que nous avons mobilisées
et déployées en nous-même, tel un véritable trésor.
C’est alors que, semblable à une fleur qui épanouit et propage son parfum rare et précieux, notre Être déploie et diffuse son essence, sa sensibilité et sa couleur
unique et spécifique à travers des qualités, des dons et des talents tout à fait singuliers.
L’Être ne se plie à aucune règle, aucune convention, aucun dogme.
Inutile de se comparer ou de vouloir correspondre à des normes, du point de vue de l’Être, il n’y a aucune compétition possible et surtout aucun effort à
fournir.
Car en effet, dès lors où nous sommes dans l’expression de notre essence profonde, tout est simple, facile, joyeux et c’est normal puisque c’est là où se trouve
notre génie personnel, là où nous sommes les meilleurs, là où nous sommes dans le plaisir, là où on ne sent plus le temps passer, là où on est reconnu et où on nous réclame, là où l’abondance
circule librement…
Finalement et contrairement à ce que j’ai cru toute ma vie, il ne s’agit pas de vouloir s’aimer soi-même pour être heureux, mais de se laisser Aimer par l’Amour en
renonçant à toute volonté afin qu’il se donne et prospère à travers nous.
Autrement dit, dès lors que nous nous abandonnons dans les bras de la Vie et que nous permettons à notre essence d’Amour de s’épanouir en nous à travers
l’expression de notre singularité, alors non seulement nous nous sentons pleinement nourrit mais bizarrement et contre toutes attentes nourrissons également les autres !
Par contre, plus nous fournissons des efforts pour correspondre aux attentes des autres ou de nous-même afin de nourrir une image parfaite de ce que nous croyons
Être, alors plus nous fonctionnons à contre-courant du flux de la Vie, plus nous nous épuisons, plus nous nous éloignons de ce que nous sommes véritablement et plus nous souffrons.
Tiwākawāka 12/01/21
Le vrai visage de l'Amour
Nous sommes nés de l’énergie d’Amour et de sa passion à se multiplier et que nous le reconnaissions ou non, cette présence d’Amour cherche à nous féconder, à nous
transcender, à nous nourrir profondément afin de se déployer en nous à travers tous nos sens. Ainsi nous sommes constitués d’une dimension subtile (notre corps de lumière ou essence d’Amour,
illimitée et non périssable) et d’une dimension matière (notre corps de chair, limité et périssable) qui sont faites pour fonctionner ensemble et sont totalement indissociables. On pourrait ainsi
dire que l’Amour nous colle à la peau et nous n’en sommes jamais séparés !
Cependant, le processus qui permet la fusion entre ces deux dimensions et donc l’incarnation de l’Amour dans la matière, passe par le RESSENTI. L’Amour est
une vibration qui ne se pense pas, ne se maîtrise pas, ne se contrôle pas. Notre mental n’a pas accès à cette dimension qui ne peut se vivre que dans l’expérience sensorielle. Par conséquent,
pour « co-naître » l’Amour (dans le sens de « naître avec ») il s’agit d’accepter de le ressentir en accueillant en nous même son expression première qui est la Vie dans toutes ses déclinaisons,
c’est à dire nos perceptions sensorielles, nos émotions, notre sensibilité, … bref tout ce que nous avons appris à rejeter depuis notre plus tendre enfance car considérés comme étant des zones de
fragilités, de vulnérabilités et donc de souffrances !
Mais ce ne sont pas nos émotions qui nous font souffrir, ni même notre sensibilité ou tous ce que l’on pourrait appeler « nos défauts ». Notre souffrance est le
résultat de notre lutte acharnée contre ces parts de nous-même que nous jugeons comme inacceptables et dont nous nous sommes coupés par peur de ne pas être aimés. Mais paradoxalement, plus nous
cherchons à les contrôler (en les niant, en les rejetant, ou en voulant les changer), plus elles frappent et se manifestent violemment dans notre vie et cela quitte à nous plier, nous casser ou à
nous terrasser s’il le faut. C’est pourquoi, ce que nous considérons comme une difficulté, un problème ou une épreuve est généralement l’expression d’une solution que la vie nous envoie mais que
nous rejetons, préférant chercher des réponses à l’extérieur de nous, alors que tout est là, à l’intérieur !!
Ainsi, l’Amour prend tous les visages. Ange ou Démon, c’est selon notre degrés d’identification à la matière et de résistance à ce qui EST. Plus nous sommes coupés
de nos ressentis et donc de l’expression de la Vie et de l’Amour en nous, plus notre corps devient un enfer-me-ment et plus notre réalité extérieure nous le renvoie en miroir. Car, à défaut de le
laisser passer par l’intérieur, l’Amour se manifeste par l’extérieur à travers des scénarios dit « problématiques » jusqu'à ce que nous lui ouvrions les portes de notre cœur afin qu’il puisse
nous féconder et s’épanouir à travers nous.
Sur le plan de la conscience unifiée, le monde extérieur n’est donc que le reflet de ce que nous vivons avec nous-même et où « l’autre » n’existe pas. Dans
cette dimension, il est le pantin de notre pensée agissante, le reflet des parts dont nous sommes coupées, le langage de notre Âme qui crie famine, l’expression de l’Amour qui se cherche à
travers nous, la voix/voie du Divin … C’est pourquoi, si nous sommes identifiés à notre seule dimension matière, alors nous risquons de traverser notre vie en position de victime qui se bat
et se débat sans jamais percevoir que nous armons la main de celui qui nous fait souffrir et que notre pire ennemi c’est nous même !
Tiwākawāka 11/01/21
Sortir de sa solitude et apprendre à se laisser aimer.
La vie n'est pas toujours simple et douce, et dans nos relations, il nous arrive parfois que des blocages émotionnels se forment en nous, consciemment mais aussi
inconsciemment. Ce qui par la suite nous empêche de nous épanouir complètement.
Ces blessures nous amènent à une solitude, qui nous parait essentielle pour notre bien être.
Cette bulle protectrice, tel un cocon, nous apaise et nous permet de nous laisser évaporer dans les airs le trop plein d’émotions et d’énergie. Elle nous permet de nous ressourcer d'une certaine
manière en gardant pour nous même une joie ou un chagrin qui ne peut être partagé. La solitude n'est donc pas si désagréable, elle nous apprend à aimer notre propre compagnie et nous console de
l'absence d'amour de l'autre. Elle est donc nécessaire en un point, mais il ne faut pas si noyer, car c'est comme cela qu'elle peut devenir amère changeant en un maître-maux du chaos. C'est Alors
qu' elle se perverti en une nourriture pour l'ego et l'esprit, se rendant dangereuse et très addictive, évoluant rapidement en une habitude qui nous drogue de son paisible calme. Elle peut être
d'un grand confort, mais jamais un réconfort se transformant en une douce tristesse que nous acceptons sans résister. La solitude ne vous rendra jamais vraiment heureux au mieux elle vous rendra
fou car vous continuerez de vous chercher sans comprendre que l’unité de vous même ne se trouve que dans l'amour de l'autre. Cet autre qui vous apprendra à vous aimer tel un miroir.
Le rire est votre porte de sortie, car on ne rit guère dans la solitude. Alors pour sortir de celle-ci vous devrez vous révoltez contre vous même, vous devrez crier
pour vous réveillez de votre imaginaire captif. Crier votre envie de vivre et de rire, pas ce rire hypocrite de bienséance sociétal ... Non !!! vous savez ce grand
rire, que cet autre veut partager avec vous comme une messe divine. Ce rire que l'autre vous donne en exaltant vos sentiments de ce souffle fraternel qui emporte votre cœur. Ce rire hygiénique,
qui dilate votre rate, élargit vos poumons et échauffe votre sang. N'ayez plus peur de crier dans votre solitude que vous voulez rire, vivre et être aimer.
Et quand vous vous laisserez enfin aimer, la solitude ne sera plus une prison dore, mais un refuge pour vous aimer vraiment.
Un jour, vous verrez, votre existence vous amènera à croiser le chemin de quelqu'un qui parle votre langage. Ses mots et sa présence parleront directement à votre
cœur et c'est alors que vous comprendrez.
Quand cette personne se manifestera dans votre vie et que vous la laisserez vous aimer, alors vous ouvrirez une porte inconnue qui vous transformera intérieurement
pour que vous ne passiez pas une vie entière à essayer d’écouter votre cœur et à tenter de traduire les messages de votre âme. Essayez donc de ne pas laisser s’échapper celle ou celui qui vous
aimera pour ce que vous êtes réellement.
Tiwākawāka 09/01/2021